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samedi 17 septembre 2016
Un polar dans le milieu médical (Dernières Nouvelles d'Alsace)Par Administrateur réseau le samedi 17 septembre 2016, 15:56
vendredi 16 septembre 2016
Ce sont les vendanges en librairie...Par Administrateur réseau le vendredi 16 septembre 2016, 22:00
dimanche 21 août 2016
La comédienne Anne Richard (Boulevard du Palais) confie au Pays d'Auge sa dernière lecture : "Si les Petits cochons te mangent pas !" de Luc FORIPar . Administrateur réseau le dimanche 21 août 2016, 11:43
Quelle est votre dernière lecture ?
Anne Richard : « L’île des oubliés » de Victoria Hislop, mais là je suis entrain de lire « Si les petits cochons te mangent pas » de Luc FORI, c’est un polar.
Fabien Lefœuvre : « Héloïse, ouille ! » de Jean Teulé, c’est un roman historique que j’adore.
lundi 25 juillet 2016
Vineuil toile de fond d'un polarPar Administrateur réseau le lundi 25 juillet 2016, 13:11
C'est un roman, noir, âpre et amer, dont l'intrigue, sous-tendue de misère sociale et affective, s'articule autour de la disparition d'un enfant et le suicide de l'enquêteur chargé de l'affaire. Jérémy Bouquin, pour son troisième roman, « Le Nègre du flic » aux éditions Pavillon noir, épouse avec délectation les codes du genre et entraîne son lecteur dans un sombre périple entre Mer, Blois et surtout Vineuil, où s'ancre le cœur de son histoire. Il est surprenant d'y découvrir ainsi la commune d'un point de vue romanesque et au travers du prisme déformant du thriller. Les habitants de la rue George-Sand seront pour le moins étonné, par exemple, d'y découvrir leur quartier sous un jour bien peu avenant. Et si on relève, ici et là, quelques imprécisions (Vineuil ne compte pas encore 15.000 habitants et la gendarmerie n'a jamais été située place de la mairie), on se prend rapidement au jeu, avide de suivre jusqu'à leur terme les méandres de cette histoire dont on visualise immédiatement le décor.
« Si j'ai situé ce roman à Vineuil, explique l'auteur, c'est avant tout parce que j'y ai des amis, ainsi qu'à Blois. Je viens régulièrement les voir et je profite pour découvrir et parcourir ces lieux que j'aime beaucoup. Plus qu'un clin d'œil, j'avais depuis quelque temps envie de les utiliser dans une de mes œuvres. »
Scénariste de bande dessinée et de films à ses débuts, c'est finalement vers le roman que Jérémy Bouquin a orienté sa carrière. « J'écris depuis très longtemps et il est vrai que le monde du cinéma m'a longtemps fasciné, puis, en fin de compte déçu, car bien peu de ce que l'on écrit est finalement mené à son terme et produit. Je me suis donc tourné vers le roman, m'inspirant le plus souvent de faits divers. Ainsi dans " Le Nègre du flic ", le trafic d'enfants dans les pays de l'est de l'Europe qui sert de trame au roman est malheureusement une réalité. Mon prochain livre, actuellement en cours d'écriture, abordera un univers totalement différent et plus ludique puisqu'il s'agit d'un roman de science-fiction dont l'action se déroulera dans le monde des bikers. ».
« Le Nègre du flic » de Jérémy Bouquin, éditions Pavillon noir, 2016.
Cor. NR : Fabrice Aliaga
mercredi 29 juin 2016
Loiret > Loire-Sologne > Ferté-Saint-Aubin. Guy Tristan, Solognot et auteur de polarsPar Administrateur réseau le mercredi 29 juin 2016, 17:07
Les « Incroyables talents de la Sologne » s'étaient donné rendez-vous à la bibliothèque municipale de La Ferté, samedi. Parmi eux, le talent d'écrivain de Guy Tristan,
Loir-et-Cher - Vineuil - Six auteurs en dédicace
Par Administrateur réseau le mercredi 29 juin 2016, 15:23
Samedi, accueillis durant toute la journée au sein du rayon Librairie du centre commercial Auchan, six auteurs régionaux ont dédicacé leurs ouvrages, romans historiques, policiers, ou documentaires. Georges Joumas, Michel Georget, Jacques Jouanneau, Luc Fori, Jéremy Bouquin et Jean-Pierre Simon ont ainsi pu évoquer leur travail, leurs sources d'inspiration et leur affection réelle pour notre région, avec un public qui n'est pas resté indifférent à leur talent. Ces auteurs ont, par ailleurs pour points communs, outre un fort ancrage ligérien, un même éditeur indépendant, Gilbert Trompas, qui installé depuis vingt ans à Orléans, sous le label de Corsaire Éditions, garde à cœur de promouvoir les auteurs locaux.
dimanche 5 juin 2016
Affaire n°191: "Du sang sur le tapis rouge" de Jean-Marie Palach sur http://fais-moi-peur.blogspot.frPar Administrateur réseau le dimanche 5 juin 2016, 22:18
L’auteur arrive assez facilement à nous plonger dans son histoire.
J’ai beaucoup apprécié le fait qu’il y ait deux enquêtes. L’auteur alterne donc les points de vue mais l’ensemble se marie très bien et finalement on n’a vraiment qu’une hâte, celle de découvrir les coupables.
Étant donné que les deux enquêtes ne sont pas liées mais qu’elles s’alternent au niveau des points de vue, je pensais qu’il serait compliqué de les suivre. De plus, l’auteur ajoute différents éléments du quotidien qui s’accumulent dans la vie de ses personnages. Mais au fur et à mesure de l’avancement de l’histoire j’ai eu la surprise non seulement de bien tout différencier mais d’avoir envie d’en savoir plus à chaque fin de chapitre.
Les idées sont intéressantes et prenantes tout au long du roman. L’auteur alterne très facilement retournements de situation et moments de vie quotidienne.
dimanche 22 mai 2016
La chronique de Cassiopée : Du sang sur le tapis rougePar Administrateur réseau le dimanche 22 mai 2016, 23:44

vendredi 20 mai 2016
http://leslecturesdelonclepaul.over-blog.com : Jean-Marie PALACH : Du sang sur le tapis rouge. Va falloir le détacher avant la montée des artistes...Par Administrateur réseau le vendredi 20 mai 2016, 22:47
Alors que l'ordonnance de renvoi de l'affaire du covoiturage est signée auprès des assises du Val de Marne, alors qu'un meurtre vient d'être perpétré dans un hôtel de la rue Gossec dans 12e arrondissement de Paris, la commissaire Clémence Malvoisin est convoquée chez Le Pavec, le Préfet de Police, pour une enquête très particulière.
Dans le bureau du fonctionnaire, elle est mise en présence du délégué du festival de Cannes, festival qui doit débuter dans quelques jours. Or Cyprien-Louis de Villetaneuse est franchement embêté. Depuis 2003, une accident se produit invariablement tous les ans, accident sérieux entraînant mort d'homme ou de femme. Et il aimerait bien que cette soixante-septième édition ne soit pas une nouvelle fois endeuillée.
Villetaneuse a monté un dossier à l'intention de Clémence et il s'avère que toutes les victimes ont un lien, plus ou moins proche avec Claude Bergerac, le célèbre producteur possédant à son actif bon nombre de succès. Or cette année 2014 devrait être l'apothéose de Bergerac car l'homme a du nez. Il vient de signer en tant que producteur, réalisateur et acteur un film synthèse entre Beaumarchais et Jacques Demy, Le Barbier de Cherbourg.
Clémence doit donc se rendre à Cannes, munie d'une nouvelle identité et prendre rang dans l'équipe de Bergerac, comme scénariste d'un prochain film. Bien entendu seuls le Préfet, l'adjoint de Clémence, le délégué général et Bergerac seront au courant de cette mystification destinée à cacher le véritable but, découvrir le coupable des ces attentats déguisés. Elle en fait part à son mari qui, jaloux, n'apprécie pas cette escapade cinématographique. Et, coïncidence bienvenue, son fils est en stage dans une boite de production cinématographique et va pouvoir lui donner moult informations sur ce domaine et ce petit monde fermé dont elle ne connait que quelques grandes lignes, ce qui lui permettra de tenir son rôle avec justesse. De même elle se voit coiffer par une spécialiste et monter une garde-robe par une couturière ayant habillé toutes les grandes actrices.
2003, l'année du premier accident, est également synonyme de fracture dans la vie familiale de Bergerac. Lionel, l'un de ses fils, promis à un brillant avenir d'écrivain, a disparu, et depuis n'a jamais redonné de ses nouvelles. Il est considéré par tous comme mort. Clémence s'intègre rapidement dans la petite équipe, où elle est acceptée par tous pour son charisme. Seul Sacha, l'autre fils de Bergerac qui n'est pas issu de la cuisse de Jupiter pais plutôt d'Eole tant il brasse du vent, fait tâche parmi tous ces professionnels du cinéma, quelle que soit leur fonction. Sans oublier Tseng-Nio, le chauffeur garde du corps, ou Brigitte, la vieille vendeuse de roses.
Pendant que Clémence peaufine son rôle puis qu'elle se rend à Cannes, que se passe-t-il à la Section Est de la police judiciaire ? Langlade son adjoint supervise les enquêtes en cours, particulièrement celle menée par le jeune Florent Bragatour chargé de démêler l'affaire de l'hôtel Gossec et découvrir le meurtrier de ce client de passage. Quant à Maurice, le planton, il continue de lire les œuvres de Roger-Paul Jean, le juge chargé d'instruire le procès de l'affaire de covoiturage. D'ailleurs il a prêté un des romans à Clémence et les autres suivront le même chemin. Car ces romans sont excellents, vivants, précis, humanistes, ce qui étonne un peu tout le monde, Roger-Paul Jean étant connu pour son rigorisme et son côté solitaire.
Lors de son séjour Clémence va faire la connaissance d'un acteur, haut en couleurs, bourru, grossier, vulgaire et pourtant attachant, Gérard Mordarieu, lequel circule en scooter. Elle va aussi se trouver sous le charme de Willem Dafoe, en tout bien tout honneur, malgré les appréhensions de son mari. Seulement elle échappe à un attentat, grâce à Mordarieu, et d'autres tentatives vont ponctuer son séjour.
Trois enquêtes, pour le prix d'une, qui vont se compléter, comme le faisait Ed McBain dans ses romans consacrés à la saga du 87e district. Car ce n'est pas parce que Clémence est à Cannes en mission semi-officielle, que la vie s'arrête. Il faut bien continuer à débrouiller les affaires en cours.
Un roman admirablement bien construit et qui ne manque pas de clins d'œil. Par exemple Clémence se rend chez la couturière, Mimi Boutillier, qui habite la même adresse que les éditions Viviane Hamy. Un appel déguisé ?
De même les romans écrits par Roger-Paul Jean portent les mêmes titres que ceux déjà consacrés à Clémence Malvoisin, se qui permet à l'auteur d'en écrire tout le bien qu'il en pense. C'est de bonne guerre.
Un roman vif, alerte, bien troussé, mais le personnage de Clémence Malvoisin, la meilleure flic de France, aurait mérité un traitement moins laudateur. Elle est belle, ce n'est pas un reproche, elle éclipse tout le monde et joue son rôle à la perfection malgré son ignorance du monde cinématographique. C'est presque trop beau pour être vrai. Et puis elle possède une qualité que je lui envie : elle a une capacité de lecture que j'aimerai bien avoir. Elle dévore le roman de trois-cents pages de Roger-Paul Jean en quatre heures. Ah si je pouvais en faire autant !
Et si l'enquête cannoise de Clémence est intéressante, celle de Florent Bragatour à l'hôtel Gossec l'est tout autant, sinon plus.
dimanche 15 mai 2016
Le Message du marais sur fais-moi-peur.blogspot.fr/Par Administrateur réseau le dimanche 15 mai 2016, 21:37

J’ai eu l’impression de retrouver un peu la légende du Gévaudan, une légende que j’aime beaucoup !
Tout au long du roman le lecteur est tenu en haleine et n’a d’autres choix que de découvrir l’histoire ainsi que les secrets qu’elle renferme.
Nicolas Ménard arrive à retenir l’attention de son lecteur et sème des indices pour que le coupable soit dévoilé. Malgré cela je ne suis pas arrivée à découvrir le coupable.
Les descriptions sont assez présentes sans qu’elles soient trop détaillées. J’aurais peut-être souhaité avoir des descriptions plus approfondies concernant les scènes de crimes ou celles de luttes. L’atmosphère des lieux et les sentiments des personnages permettent bien de s’imaginer l’ensemble.
Il aurait pu être aussi intéressant d’avoir un peu plus de détails pour les physiques des protagonistes. Même si tout est assez clair concernant leurs rôles et les liens entre eux je ne suis pas totalement arrivée à m’imaginer à quoi certains d’entre eux pouvaient ressembler.
Les retournements de situations ne sont pas trop nombreux et cela permet vraiment de donner du réalisme au livre. Ainsi tout ne semble pas surréaliste.
Quand on a toutes les cartes en mains et que l’on sait qui est derrière tout cela on se rend compte de l’horreur de la situation et comment des êtres humains peuvent être ignobles. Personnellement j’ai eu la chair de poule…
La religion est assez présente mais ce qui m’a le plus gênée c’est la présence d’un zoo et le fait que ce soit cautionné… Je milite pour ce genre d’endroits (et tous les lieux ou des animaux sont captifs) et j’ai trouvé un peu dommage de le mettre autant en avant dans ce roman !
En lisant ce roman on se demande si cette histoire n’a pas existé du moins en partie. Il pourrait être utile de faire des recherches pour savoir si cette légende a été complètement inventée ou pas. En tout cas, j’aime beaucoup les romans traitant de légendes ou avec des meurtriers un peu spéciaux.
En résumé, un livre qui mérite d’être lu et qui vous fera penser à une légende comme il en existe tant d’autres aux quatre coins du monde.
Vous faire un peu parler: Déjà si vous avez envie je vous propose un petit quiz que j'ai fait (ici) pour voir si vous avez bien lu le livre !
Connaissez-vous des légendes qui se passent près de chez ou pas ?
Avez-vous déjà lu des romans parlant de légendes ou dans lesquelles ces dernières sont complètement imaginées pour un roman ?
Dans ce livre il est question d’un tueur en série qui ressemble un peu à la bête du Gévaudan (ce n’est pas totalement cela mais je n’ai pas envie de tout spoiler).
Comment réagiriez-vous face à ce genre de créature ?
Croyez-vous qu’une espèce de ce genre ait pu un jour exister ?
Si vous avez lu le roman quel passage avez-vous le plus apprécié et pourquoi ?
Aviez-vous deviné le coupable et l’identité du "tueur" en série ?
La parole est à vous, chers enquêteurs !
mardi 10 mai 2016
Connexions tragiques sur fais-moi-peur.blogspot.frPar Administrateur réseau le mardi 10 mai 2016, 21:44
Mes conclusions sur le meurtre :
J’ai beaucoup apprécié ce roman. L’histoire est intéressante et à l’ère du numérique et des sites de rencontres l’histoire pourrait malheureusement arriver à n’importe qui.
L’auteur nous plonge très facilement dans son roman et je pense que n’importe qui ayant déjà côtoyé les sites à la recherche de "l’âme sœur" se reconnaîtra dans certaines choses.
Ce que j’ai bien apprécié ce sont les changements de points de vue. En effet, tout au long du roman on peut suivre le quotidien des enquêteurs dont un ancien enquêteur qui se retrouve malgré lui en plein dans cette affaire, des témoins et évidemment le tueur en série.
Ce qui est un petit peu dommage c’est que j’aurais bien voulu retrouver un peu plus de points de vue du tueur et pourquoi pas ceux des victimes qui eux sont complètement absents.
En ce qui concerne le déroulement de l’enquête, selon moi, il n’apparaît pas assez tout au long de l’histoire et n’est évoqué qu’à certains moments du roman, je trouve cela un peu dommage. J’aurais bien voulu que l’auteur nous évoque les recherches approfondies, les relevés d’indices… Ce genre de choses est un peu mis au second plan dans l’histoire.
Ce qui aurait pu être intéressant c’est d’assister à une vraie conversation entre le tueur et une de ses victimes. Il y a quelques phrases mais pas de vrais dialogues.
Au niveau des descriptions en général elles sont bien présentes mais sans être trop développées.
L’histoire progresse bien dans l’ensemble et les idées s’enchaînent facilement sans aller trop vite.
On sent que c’est vraiment l’auteur qui tient les ficelles et même s’il nous dévoile de temps en temps de petits indices on ne découvre le meurtrier qu’à la fin. Cela est une bonne chose puisque ainsi on peut vraiment, nous aussi, essayer de deviner qui est derrière tous ces meurtres.
En parallèle de l’enquête, on suit aussi la vie quotidienne de certaines personnes. Cela nous permet de nous rendre compte qu’il n’y a pas que l’enquête qui compte mais aussi des protagonistes extérieurs qui sont tout de même essentiels.
La fin est intéressante et je l’ai trouvé originale. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié le dernier paragraphe qui m’a fait sourire.
En résumé, un roman qui m’a vraiment plu et grâce auquel vous ne verrez plus les sites de rencontres de la même manière !
Ce que j’ai bien apprécié ce sont les changements de points de vue. En effet, tout au long du roman on peut suivre le quotidien des enquêteurs dont un ancien enquêteur qui se retrouve malgré lui en plein dans cette affaire, des témoins et évidemment le tueur en série.
Ce qui est un petit peu dommage c’est que j’aurais bien voulu retrouver un peu plus de points de vue du tueur et pourquoi pas ceux des victimes qui eux sont complètement absents.
En ce qui concerne le déroulement de l’enquête, selon moi, il n’apparaît pas assez tout au long de l’histoire et n’est évoqué qu’à certains moments du roman, je trouve cela un peu dommage. J’aurais bien voulu que l’auteur nous évoque les recherches approfondies, les relevés d’indices… Ce genre de choses est un peu mis au second plan dans l’histoire.
Ce qui aurait pu être intéressant c’est d’assister à une vraie conversation entre le tueur et une de ses victimes. Il y a quelques phrases mais pas de vrais dialogues.
Au niveau des descriptions en général elles sont bien présentes mais sans être trop développées.
L’histoire progresse bien dans l’ensemble et les idées s’enchaînent facilement sans aller trop vite.
On sent que c’est vraiment l’auteur qui tient les ficelles et même s’il nous dévoile de temps en temps de petits indices on ne découvre le meurtrier qu’à la fin. Cela est une bonne chose puisque ainsi on peut vraiment, nous aussi, essayer de deviner qui est derrière tous ces meurtres.
En parallèle de l’enquête, on suit aussi la vie quotidienne de certaines personnes. Cela nous permet de nous rendre compte qu’il n’y a pas que l’enquête qui compte mais aussi des protagonistes extérieurs qui sont tout de même essentiels.
La fin est intéressante et je l’ai trouvé originale. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié le dernier paragraphe qui m’a fait sourire.
En résumé, un roman qui m’a vraiment plu et grâce auquel vous ne verrez plus les sites de rencontres de la même manière !
Vous faire un peu parler: Déjà si vous avez envie je vous propose un petit quiz que j'ai fait (ici) pour voir si vous avez bien lu le livre !
Est-ce que vous vous êtes déjà inscrit sur un site de rencontre ?
Avez-vous déjà lu un roman (thriller/policier ou pas) concernant ce genre de rencontre sur internet ?
Comment réagiriez-vous si vous correspondiez sur un site de rencontres avec un tueur (ou une tueuse) en série ?
Si vous avez lu ce roman, quel passage avez-vous le plus apprécié et pourquoi ?
Dans ce roman il y a plusieurs personnages très différents, lequel vous ressemble le plus et pourquoi ?
La parole est à vous, chers enquêteurs !
mardi 8 mars 2016
Ce sera Luce MARMION, ainsi en à décidé le Comité de lecture de la Bibliothèque Georges Sand à Semoy.Par Administrateur réseau le mardi 8 mars 2016, 10:16
samedi 30 janvier 2016
Jean-Marie PALACH emporte le premier prix du concours de nouvelles du Festival du polar Bloody Fleury à Fleury-sur-OrnePar Administrateur réseau le samedi 30 janvier 2016, 00:56
jeudi 28 janvier 2016
Mika MUNDSEN au Festival du polar BLOODY FLEURY à Fleury sur OrnePar Administrateur réseau le jeudi 28 janvier 2016, 10:22
vendredi 4 décembre 2015
Un auteur, des mots : un interview de Nicolas Ménard dans Origine SolognePar Administrateur réseau le vendredi 4 décembre 2015, 10:27
jeudi 5 novembre 2015
LOIRE&ORLÉANS ÉCO : CORSAIRE, maison d'édition à taille humainePar Administrateur réseau le jeudi 5 novembre 2015, 20:08
mardi 13 octobre 2015
Les petits cochons dans le Journal de la SolognePar Administrateur réseau le mardi 13 octobre 2015, 18:03
mercredi 30 septembre 2015
French connection, Luc FORI dans La Tribune hebdoPar Administrateur réseau le mercredi 30 septembre 2015, 11:21
samedi 5 septembre 2015
Luc FORI as du polarPar Administrateur réseau le samedi 5 septembre 2015, 13:24
La plume est caustique, le parler rabelaisien. Luc Fori écrit des polars, en ficelle subtilement l’intrigue à un arrière-plan sociétal.
Professeur de français dans un lycée berruyer, lecteur et écrivain boulimique, habile dans le pastiche poétique et la nouvelle à chute, l’auteur s’amuse avec les faux-semblants, manipule à bon escient le lecteur qui se pique au jeu et ne décroche pas.
Le goût des mots détournés
Il y a du Dard dans son style, et le goût des mots détournés. Son troisième titre n’échappe pas à sa tactique littéraire qui assoit son univers. Si les petits cochons te mangent pas à le verbe fouisseur, la trame corrosive portée par William Clavault, ancien flic, décalé et faussement antipathique qui mène l’enquête en parallèle avec la police.
« C’est en visitant un élevage industriel de porcs en Picardie que j’ai eu l’idée du thème », souligne l’auteur. Sans savoir que quelques mois plus tard il collerait à l’actualité. « C’est un constat à un moment donné. »
Luc Fori mêle avec talent l’humour et suspense, un travail de longue haleine esquissé sur de petits carnets, souvent un an d’investigation avant de noircir les pages pendant l’été et s’astreindre à cinq heures de rédaction quotidienne.
Un quatrième ouvrage prochainement paraître, lui aussi en phase avec l’actualité.
jeudi 13 août 2015
Murder scones surhttp://www.k-libre.fr/Par Administrateur réseau le jeudi 13 août 2015, 14:11
Peter est un drogué londonien, qui s'est fait voleur pour assouvir son vice et ainsi obtenir les doses dont il a besoin. Tout va pour le mieux quand un jour, par malheur pour lui et évidemment sans le savoir, il dérobe un superbe objet d'art à un certain "colonel". Cet objet n'a pas seulement une valeur sentimentale, il contient, caché en lui, une clé USB, très importante. Le colonel envoie donc ses sbires rechercher Peter. Mais Peter est un homme de ressources et il réussit à fuir tout en décidant de changer radicalement d'air et d'aller sur la côte. Là, il espère fouiller les petites maisons des retraités et se refaire une santé financière. C'est alors qu'il tombe dans un piège. Sans nouvelles de lui et décidée à le retrouver, sa sœur se rend sur la côte et sur sa piste sans se douter que les hommes du colonel rôdent. Dans la petite bourgade de Rustington, où l'essentiel de la population semble s'inviter les uns chez les autres pour le thé ou organiser des œuvres de bienfaisance, bien des secrets se cachent. Surtout chez les Spencer...
L'idée de départ est somme toute amusante : lassées de se faire cambrioler, des personnes âgées mettent en place un système de surveillance, puis piègent leurs maisons. Au bout d'un moment, elles regrettent que leurs pièges ne servent pas et provoquent le destin en attirant les cambrioleurs afin d'assouvir leurs passions sadiques. Cela permet à Jack Narval, l'auteur de ce roman, un grand moment de méchanceté pure où les vieux s'amusent à découper en morceau un cambrioleur tout en sirotant leur thé. Nous ne sommes pas loin d'Arsenic et vieilles dentelles. Et c'est justement un système bien huilé, qui pourrait fonctionner sans accroc, sans l'arrivée de Peter, cambrioleur assez récalcitrant, sans sa sœur qui mène l'enquête en digne héritière de Miss Marple, la vieille détective d'Agatha Christie et surtout sans la bande du colonel. Tout cela transforme l'atmosphère glauque qui aurait pu naître en comédie à l'anglaise - dans la lignée de ces films britanniques anciens comme Noblesse oblige ou Le Tueur de ces dames. Le piège fonctionne comme une gigantesque attraction de foire, un système à la Fort Boyard, un de ses bricolages que décrivait le Marquis de Sade pour s'exciter durant ses longues soirées en prison ou à l'asile.
Sur cette trame assez simple, boulevardière, La Mort était servie à l'heure se déroule avec quelques personnages jusqu'au final, qui achève la comédie noire de belle façon. Amusante série B., revendiquée comme telle, le roman se lit rapidement, dans la joie contagieuse d'un fantasme d'enfant sadique, sur fonds de musique rock anglaise des années 1960. Une pastille extrêmement rafraîchissante.
Citation : C'est dommage de lui avoir tranché une artère si tôt, tout cela à cause d'un outil mal taillé. Je propose donc l'acquisition d'un affûteur électrique.
Chronique de Laurent Greusard
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